Chers amis,
Que reste t'il de gratuit dans notre joli monde, d'incontrôlable, de libre ?
Il ne me vient que trois idées, mais je reste ouverte à vos commentaires ....
Tout d'abord, l'Amour, avec un grand A, le grand, le beau, le fou, l'objet de nos rêves les plus bruyants ou les plus secrets, la passion dévorante, aliénante, l'Amour qui rend beau, qui rend fort, l'Amour qui ouvre les horizons les plus noirs et les prisons les plus secrètes.... un article (ou plusieurs) suivra (ou suivront si vous arrivez à suivre) sur le plus beau des sujets.
Ensuite, La Météo, la grande Météo qui rythme nos vies, nos journées, nos humeurs, qui agace le plus profond de nos placards, qui brouille nos humeurs ou les rend si légères, celle qu'on prévoit peu ou pas, celle qu'on implore, qu'on déteste ou qu'on adore... Là aussi, un sujet bien plus aprofondi est absolument nécessaire.
Enfin, je vous parlerai du plaisir d'écrire, d'aligner les mots les uns après les autres, de laisser la main prendre la suite de nos neurones, pour le meilleur ou pour le pire.
Liberté d'écrire, liberté de pensée et de penser, quoi de plus important, de plus nécessaire dans ce monde où tout est calibré, encadré, interdit de gré ou de force.
Dans cette vie que je n'ai pas vraiment choisie, pas vraiment rêvée, ou le temps me manque à chaque instant, ou je déplore le manque de contacts humains sans pour autant les rechercher vraiment, il me manquait une page blanche pour déverser mon trop plein de mots et de maux, ceux qui chahutent dans ma tête sans pouvoir passer le péage de mes lèvres, ceux qui s'étouffent dans mon coeur faute d'être partagés, ceux que je partage oralement en les regrettant immédiatement car je ne suis pas une grande oratrice....
Ne pas être une victime c'est pouvoir s'exprimer.
A ceux qui voudront bien me lire, j'ouvre donc cette page à mes mots, à mes maux, à mes coups de gueule en espérant les partager avec vous.
Au plaisir de lire bien sur vos commentaires qui ne pourront que m'enrichir par leur diversité.
Merci d'avoir déjà lu ces quelques lignes.